Cet article sera une répétition sur la sécurité. Mais on n'est jamais assez prudent.
On a déjà parlé des mystérieux
voyous qui viennent de pays inconnus et
qu’il faut reconnaitre à leurs tatouages. Plus dangereux qu’un jeune des cités,
plus perfide qu’un Chinois qui achète tout, plus voleur qu’un manouche, surtout cédez à la panique, voire à la paranoïa, il y a de
quoi être terrifié jusqu’aux prochaines élections.
Cette affaire a
raisonné très, très loin dans ma caboche postcommuniste. Héritière d’un Gaston
Lagaffe qui a du exacerber plus d’un des meilleurs apparatchiks avec ces combines
foireuses, j’ai quelques anecdotes qui me
sont soudainement revenues d’une autre vie.
Des loseurs de sicaires géorgiens qui oublient l’adresse,
des faussaires roumains trop flambeurs, des athées bulgares peintres de vraies
fausses icônes orthodoxes et surtout des marins russes voleurs d’une cargaison
de chaussures en carton destinées aux enterrements…
Et pour ne pas reprocher un jour à la Bakchichenne de n'avoir rien dit, sachez que l’autre,
celui qui est censé faire très peur, devient un fantôme.Un autre article vous l'expliquera bien mieux que moi: L’identité
est notre antidépresseur, elle nous est indispensable […] L’identité est donc un moment incontournable de la constitution de
l’humain, mais elle risque de s’ériger en absolu, en dogme. Et, alors, les
conflits identitaires dégénèrent en crispations communautaires et guerres de
religions. Lire l'article
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