Pour l’essentiel, la thèse de Bakchich est que la crise de
l’euro est liée aux «âneries» des États de l'Est et surtout du Sud que peinent à rattraper
les États «économes».
De plus, nous déplorons l’incapacité de tous les États de la CE (mis en concurrence
par des audacieux spéculateurs) à participer positivement au jeu des marchés et aux soirées "coq-champ-cu" de ces derniers.
C’est pourquoi il n’y aura pas de sortie de crise si
l’Europe ne se décide pas à «franchir le pas vers un bel inconnu».
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